• The death penalty is a dreadful thing. Knowing that we're going to die in a given day, at a given hour is dreadful. That's why it's necessary to have rather solid proofs against the accused so that he could be executed. Having said that, I've a quite shared view on this topic. In my opinion, the death penalty should be given to someone who really deserves it.

     

    [Thoughts] Death penalty.

     

    I give you an example, a few weeks ago, a 7-years-old girl's body was found in a garbage dump, in Pakistan. She had been raped several times, before being killed. That's disgusting. It's a crime against humanity. I think that the person who did that deserves worse, but as there's nothing worse than death, then he should be executed. In that Zainab case, the whole country manifested, the criminal was found and he's still alive. I assure you, if I could do it, I would have killed him at the very moment he was found. He doesn't deserve to live a single minute longer. Then there are those who are killed despite their proved innocence, that's what I call " politic games ". In the end, every crime is similar, whether it's a murder or a rape. If we start executing all of them, there will be nobody anymore in the world.


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  • [Je tiens à préciser que ce n'est pas un commentaire littéraire "officiel", comme on pourrait le dire. Ce n'est pas le meilleur, ni celui qui vous fera gagner un 20/20. Mon but est de vous aider à trouver certaines informations que vous cherchez à propos, peut-être. Ou, même, à s'en inspirer. J'ai eu un 17/20, sur ce commentaire.]

     

    En 1721, c'est-à-dire au XVIIème siècle, pendant la période des Lumières, Montesquieu publie un roman épistolaire et argumentatif, Lettres Persanes. On y lit une correspondance entre Usbek, qui quitte Ispahan pour voyager, et ses amis et femmes.

    Le texte étudié est, en fait, la dernière lettre du roman, adressée à Usbek par sa femme. Roxane, chagrinée par la mort de son amant, avoue à son conjoint qu'elle ne l'a jamais aimé, tout en se donnant la mort. Ce suicide donne un aspect tragique à la lettre, pourtant polémique.

    Comment, dans ce texte, Montesquieu mêle t-il l'épistolaire, l'argumentation et le théâtre?

    C'est pourquoi l'on pourra, d'abord, étudier en quoi ce passage et Roxane sont théâtrals, puis, mettre en évidence le fait qu'elle renverse l'ordre établi.

     

     

    Montesquieu donne un côté théâtral à la dernière lettre, la rendant ainsi tragique et surprenante.

    Dès la première phrase, Roxane nous affirme qu'elle va faire un aveu. Ce "oui" (l.1) renforce d'emblée ce qu'elle va avouer. D'abord, elle confesse qu'elle "vien[t] d'envoyer devant [elle] ces gardiens sacrilèges qui ont répandu le plus beau sans du monde" (l.4-5). Elle a tué les eunuques d'Usbek qui, sous l'ordre de leur maître; avaient fait de même à son amant. Elle revendique cet acte qui pourrait l'amener à la liberté. Elle avoue, également, sa feinte pendant des années : elle faisait semblant de l'aimer pour mieux le trahir, " je me suis jouée de ta jalousie" (l.1), "te paraître fidèle" (l.10-11) et "lâchement gardé dans mon cœur" (l.11). Cependant, on remarque quelques termes qui assimilent son mensonge à une faiblesse de sa part : "je me suis abaissée" (l.10) et "profané la vertu" (l.12). D'autre part, on note l'utilisation du futur, comme "j'aurais dû faire paraître à toute la terre" (l.11), ce qui marque le regret. Ces année de soumission lui apparaissent comme un mensonge, une humiliation. Si on en revient à la première phrase, on peut voir que la deuxième personne du singulier est omniprésente dans l'extrait. Cela laisse une impression que Roxane parle directement à son mari, comme s'il était en face de lui. Comme si elle répondait à ses questions fictives, "Oui" (l.1) et "Non" (l.8)

    On remarque que Roxane dénonce haut et fort l'aveuglement d'Usbek. L'auteur oppose, grâce aux antithèses, ce que sa femme lui montrait et ce qu'elle était vraiment : "vivre dans la servitude" (l.8) et "toujours été libre" (l.8), "tu me croyais trompée" (l.16) et "je te trompais" (L.16). On a aussi un champ lexical de l'apparence, "imaginer" (l.16) et "paraître" (l.11). Roxane se moque du fait que son époux n'aie rien remarqué, et ce par la question rhétorique "Comment as-tu pensé que je fusse assez crédule?" (l.6). Montesquieu utilise le subjonctif imparfait "que je fusse" pour indiquer le caractère hypothétique de ce que Usbek croyait. Sa femme, sur un ton sec, mène ce dialogue épistolaire en affirmant sa position et en se plaçant au-dessus de son couple. Ses phrases sont des affirmations brutales et les adverbes "Oui", "Non" placés en début de phrases, coupent toutes discussions possibles.

    La façon dont meurt Roxane ressemble à celle d'une héroïne tragique. On remarque une évolution dans la représentation de sa mort : "je vais mourir : le poison va couler dans mes veines" (l.3), "je meurs" (l.4) et "C'en est fait, le poison me consume, ma force m'abandonne; la plume me tombe des mains; je sens affaiblir jusqu'à ma haines" (l.18-19). Cette dernière phrase est entrecoupée par la ponctuation, elle mime les halètements de l'agonie à perfection. Le "C'en est fait" donne un aspect tragique à la formule. On précise, aussi, que la mort apparaît pour Roxane comme une délivrance? Cette mort est, de plus, un acte d'amour elle lui permet de conclure son amour. Les termes comme "le seul homme qui me retenait à la vie" (.3-4) et "le plus beau sang du monde" (l.5) font penser à un chant amoureux. Cette mort est, sans doute, positive puisque, dans ce cas, elle devient un accomplissement.

    Afin de rendre cette lettre plus marquante, Montesquieu fait de Roxane une héroïne forte et libre.

     

     

    Roxane ne fait pas les choses comme on pourrait le croire, elle renverse les rôles et s'affirme plus que jamais.

    Roxane se met à la place d'Usbek, en position de supériorité. On observe que dans la phrase initiale, la première personne "je" (l.1) a un rôle de sujet, et la deuxième "t'" (l.1), en objet. Ceci confère à Roxane un statut supérieur, une position d'attaque. De plus, elle l'assujettit en lui imposant sa loi et en lui forçant à ressentir, contre son accord : "tu devrais me rendre grâce" (l.10) et "je te forçasse encore d'admirer" (l.18). Pour ça, le philosophe utilise le conditionnel à valeur injonctive. On peut aussi noter qu'il y a une sorte de prééminence dans "tu me trompais; et je trompais" (l.16). Dans la première moitié, il y l'infidélité d'Usbek suivie de la satisfaction de tromper son épouse, en pensant qu'elle ignore, et dans la seconde moitié, il y a l'infidélité de Roxane, ce que son conjoint ne pouvait concevoir. Cela la met dans une position supérieure parce que, contrairement à Usbek, elle sait tout de ce jeu de dupe. En outre, l’héroïne domine non seulement son mari, mais aussi le Destin : au lieu d'être tuée par Usbek à son retour, elle choisit de se donner la mort, elle-même.

    Par conséquent, cette mort est un acte de courage. Sans peur, elle meurt en direct dans cette dernière lettre. On passe du futur proche formulé sous forme de périphrase "je vais mourir" (l.3), au présent de l'indicatif "je me meurs" (l.19). En faisant cela, elle empêche son interlocuteur de lui répondre ou de prendre sa vengeance.

    Enfin, Roxane renverse les rôles et prend le pouvoir sur son ravisseur. Pour cela, elle tue les eunuques qui appartenaient à Usbek. On remarque, aussi, qu'elle met en évidence les condition de vie des femmes : "servitude" (l.8) et "soumission" (l.12). En opposition, on a un lexique de la liberté : "indépendance" (l.9) et "libre" (l.8). On constate que l'apparente obédience de Roxane cachait en réalité une liberté de sentiment, de penser. Elle représente la liberté des femmes contre l'asservissement des hommes. D'autre part, elle choisit de mourir pour pouvoir clamer haut et fort son indépendance à tous. Il est l'acte suprême de sa liberté, la seule qu'elle détient puisqu'elle appartient à Usbek.

     

     

    Pour conclure, Roxane nous prouve à quel point le système du sérail est inefficace et dénonce l'asservissement des hommes. Pour obtenir sa liberté, il a fallu qu'elle mette fin à sa vie. On a, aussi, une fin ouverte : que va faire Usbek, suite à sa lettre? On n'en sait rien, on n'en saura jamais rien.

     


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    La Déclaration, l'histoire d'AnnaHello!

     

    Résumé :

    « Pour la plupart des gens, le rêve s’arrête au réveil. »

    Si ce n’étaient ses cicatrices et les photos étranges qui tapissent les murs de son bureau, on pourrait dire d’Abigaël qu’elle est une femme comme les autres.
    Si ce n’étaient ces moments où elle chute au pays des rêves, on pourrait jurer qu’Abigaël dit vrai.

    Abigaël a beau être cette psychologue qu’on s’arrache sur les affaires criminelles difficiles, sa maladie survient toujours comme une invitée non désirée. Une narcolepsie sévère qui la coupe du monde plusieurs fois par jour et l’emmène dans une dimension où le rêve empiète sur la réalité. Pour les distinguer l’un de l’autre, elle n’a pas trouvé mieux que la douleur.


    Comment Abigaël est-elle sortie indemne de l’accident qui lui a ravi son père et sa fille ? Par quel miracle a-t-on pu la retrouver à côté de la voiture, véritable confetti de tôle, le visage à peine touché par quelques bris de verre ? Quel secret cachait son père qui tenait tant, ce matin de décembre, à s’exiler pour deux jours en famille ? Elle qui suait sang et eau sur une affaire de disparitions depuis quelques mois va devoir mener l’enquête la plus cruciale de sa vie. Dans cette enquête, il y a une proie et un prédateur : elle-même.

     

    Je dois l'avouer : commencer ce roman était une rude tâche! Au début, on ne sait pas à qui on a affaire et on ne comprend strictement rien. De plus, la chronologie n'arrange rien. En effet, à plusieurs reprises, on revient à soit quelques années en arrière, soit en avant. Franchement, d'abord, je n'y comprenais rien mais au fil de la lecture, on s'y habitue. 

    Comme le signale le résumé, ce roman traite d'une psychologue narcoleptique. Alors, je dois l'avouer mais je ne savais vraiment pas ce que c'était, la narcolepsie avant de plonger dans ce roman. Et maintenant que je le sais, je compatis avec ceux qui souffrent de cette maladie parce qu'elle nous fait vraiment perdre la notion de la réalité. C'est effrayant de voir ce que ces personnes peuvent s'infliger afin de s'assurer du réel et du irréel.

    Les personnages ne sont pas "attachants", comme on le dirait. Mais, l'histoire en soit est tellement intrigante et mystérieuse que j'en garderais un très bon souvenir. À vrai dire, je n'ai vraiment pas fais attention aux personnages, du fait qu'à un moment donné, je me suis demandée qui était Abigaël. Et je ne rigole pas! Pourtant, les personnages secondaires je m'en souviens parfaitement. Je pense qu'ils sont beaucoup plus bien construits que la héroïne, elle-même.

    J'ai finis ce roman, en une soirée. Je ne voulais absolument pas le lâcher, au fur et à mesure, que j'avançais et que la vérité s'approchait. Pour dire la vérité, plus que [SPOILER] l'identité du kidnappeur des enfants et la raison de ses actions [FIN SPOILER], c'est les actions secondaires et la narcolepsie qui m'ont intéressé. 

    Je vous recommande, vivement, ce roman si vous aimez les thrillers psychologiques.

    Passez votre chemin, si vous avez du mal à suivre un rythme irrégulier de la chronologie.

     


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  • Bienvenue à Poudlard, les élèves!

     

    Alors que vous, jeunes sorciers, étudiez paisiblement, des Mangemorts encerclent Poudlard!

    Le premier soir, deux élèves trouvent la potion d'Amortentia et la boivent. Ils tombent éperdument amoureux et pendant tout le séjour des Mangemorts, se soutiennent mutuellement. De plus, ce soir là, ces partisans de Voldemort font usage d'un des Sortilèges Impardonnables et tuent un élève, dans la Forêt Interdite. Par le sortilège de Periculum, il envoie des étincelles rouges à Hagrid. Mais, elles ne lui parviennent pas complètement, et donc, il fait ce qu'il peut. Il peut sauver la bonne personne ou pas. Rogue et Trelawney utilisent leur pouvoir et on espère qu'ils en feront bon usage. 

    Pendant la journée, Albus Dumbledore rassemble les élèves mais parmi eux se cachent les Mangemorts, déguisés. Il pose une question et celui qui gagne, obtient le pouvoir d'un de ses professeurs. Mais, s'il est Mangemort... Vaut mieux ne pas penser à ce qu'il pourrait pas se passer!

    Tous les soirs, les Mangemorts usent de leur capacité de faire mourir quelqu'un et y laissent la Marque des Ténèbres.

    -

    Mangemorts (LG) : Le premier d'entre vous est Voldemort. Sans son accord, vous ne pouvez point tuer. Vous devez tuer TOUS les élèves pour pouvoir gagner.

    Hagrid (Salva) : Tu dois essayer de sauver la bonne personne et on compte sur toi de réussir :D

    Cupidon : Tu es un élève, comme les autres. Mais, tu aimes une personne. Donc, tu lui fais boire la potion d'Amortentia, avec toi.

    Rogue (Soso) : Tu as le devoir d'essayer de démasquer un Mangemort, parmi les élèves, pendant la première journée. Tu dois impérativement utiliser ta potion de mort, la deuxième nuit.

    Trelawney (Vovo) : Tu peux découvrir l'identité de chaque personne présente dans le Hall.

    Elfes (SV) : Vous nous cuisinez des mets dignes de ceux de Poudlard! 

    Luna Lovegood (PF) : Tu espionnes les Mangemorts, tu peux t'aider de leur manière de réagir et de parler pour les démasquer. Attention, cependant, aux signes trompeurs!

    -

    Pouvoirs de vos professeurs :

    Arithmancie : Septima Vector vous dit si les Mangemorts sont, majoritairement, en nombre pair ou impair (dans la liste).

    Astronomie : Aurora Sinistra vient de regarder les étoiles et elle prédit la mort d'un certain élève.

    Botanique : À l'aide des plantes et des herbes, Pomona Chourave fabrique un remède contre la mort et sauve un élève de son choix.

    Club de duel : Gilderoy Lockhart choisit deux élèves qui devront répondre à une question. Celui qui remporte le duel gagne une immunité de 2 tours.

    Défenses contre les forces du Mal : Voldemort crée un Horcruxe, il sépare son âme en deux et l'enferme dans un élève. Vous vivrez ensemble, et mourrez ensemble !

    Divination : Grâce à son troisième œil, Sibylle Trelawney vient de voir l'identité de cette personne.

    Étude des Moldus : Alecto Carrow s'explame « Ce sont des Sang-de-Bourbe ! ». Il vous explique que les Moldus sont ignobles et vous n'êtes pas d'accord. Personne n'utilisera ses pouvoirs (ni le JDF).

    Étude des Runes : En étudiant un parchemin écrit en runes, Bathsheda Babbling découvre quelque chose sur les Mangemorts. Elle y voit deux phrases, à vous de découvrir quelle est la vraie.

     

    Métamorphose : Minerva McGonagall te transforme en .. elfe! Tu ne peux plus utiliser de tes pouvoirs.


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    2016.

     

    Une fois de plus, le fantôme de Cursed Castle a frappé. En effet, le corps d'un jeune homme, appelé Ezra, a été trouvé au pied de ce château hanté. Comme tous les autres garçons, avant lui, il est « tombé » du sommet du château. Ce qui est improbable, puisque personne ne s'y aventure. Certains disent qu'un fantôme y rode, et d'autres pensent plutôt aux suicides.

     

    Moi, j'étais neutre. Jusqu'au jour, un de mes amis m'a mis au défi de faire une visite à ce fameux Cursed Castle. Comme tous les garçons, j'avais voulu prouver mon courage et ma bravoure à mes amis. Et j'ai accepté le défi, avec farouche.

     

    Lorsque je suis arrivé devant le château, qui se trouve dans le Nevada aux États-Unis, j'avoue avoir eu peur. L'immense Cursed Castle aux couleurs sombres se dressait devant moi tel un monstre prêt à m'attaquer. Un petit chemin, parsemé de roses rouges, pouvait nous y mener. Autour il n'y avait que des arbres et des arbres. Ils semblaient tellement menaçants avec leurs branches qui s'envolaient partout au moindre vent. Tremblant malgré moi, j'avançais lentement quand il commença à pleuvoir. Il n'y avait pas d'autre abri, et j'étais obligé de me réfugier dans le château.

     

    À l'intérieur, tout était recouvert avec des draps blancs poussiéreux. On pouvait voir des toiles d'araignées ici et là. Surplombant le tout, un énorme lustre produisait une faible lumière. Des pétales de roses rouges étaient éparpillés au sol, formant une sorte de chemin à suivre. Curieux, je les suivis. Je dus monter les escaliers, avant d'arriver dans un couloir plongé dans la pénombre. Il y avait d’innombrables chambres identiques, dans les deux rangées, celle de la gauche et celle de la droite. Une porte était entrouverte. Soudain, j'entendis un chant tellement mélodique et apaisant que j'oubliais toute ma peur et mon angoisse. Comme si on allait me sauver, comme si tout cela n'était qu'un rêve. Je souris béatement. Je me précipitais, rapidement, vers la porte restée ouverte. Elle menait quelque part où il y aurait ma sauveuse. Ma bien-aimée. C'était une sorte de pente en hauteur. Je courais. Au bout de quelques minutes, je la vis, enfin. Les cheveux bruns flottants, les yeux verts pleins d'amour et le teint presque transparent, elle était parfaite. C'était ma destinée, mon amour. Elle n'avait pas de pieds, et semblait « flotter ». Mais, je pouvais bien fermer les yeux à ces détails. Après tout, l'amour est aveugle ! Elle me dit de m'approcher. Jusqu'à ce que je sois tout au bord du sommet du Cursed Castle. Je m'en fichais.

     

    Tout à coup, ses yeux se transformèrent. Rouges, remplis de haine. L'orage éclata, dans le ciel. Je retrouvais mes pensées, mais trop tard.

     

    Aaron K.

     

    1816.

     

    Je l'aimais, Nael. Il était beau, à mourir. Plus pauvre que moi, je l'aimais quand même, de tout mon cœur. Mais, il m'a trahi. Trahi avec cette peste qu'est Sakira. Il me fréquentait juste parce que j'étais la fille du riche Hunter. Il voulait ma propriété, tout mon argent. Sakira a clamé son ignorance de tous les plans à Nael. Mais, il l'avait aimé. Elle ne pouvait plus vivre. Donc, je les ai tué. Sakira, étranglée à mort et Nael, poussé du sommet de mon château.

     

    Les garçons, ils sont tous pareils. Des menteurs. Des lâches. Je vais, de ce pas, me suicider. Je n'ai plus aucune raison de rester vivante.

     

    J'ai voulu écrire ces dernières lignes, dans mon journal intime. Parce que... parce que. Parfois, il n'y a tout simplement pas de raison.

     

    Éden H.

     

     

     


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